Description
Affecté depuis quelques mois au poste de gendarmerie d’Ucluelet, petite bourgade de l’île de Vancouver, Matt Campbell s’ennuie. Un jour, pourtant, en rentrant d’une virée en kayak, il aperçoit une forme qui flotte dans l’eau. Un lion de mer ? Non, un cadavre, le visage méconnaissable. Qui s’est acharné ainsi sur cet homme ? Pourquoi ?
L’intransigeante inspectrice Joan Thibault et le jeune flic vont se lancer à corps perdu dans cette enquête tortueuse, sur fond de non-dits, de faux-fuyants et de drames personnels. Les indices sont minces et les secrets profondément enfouis. L’existence des habitants de ce fin fond du Canada et les relations qui les lient sont passées au peigne fin pour arriver à un dénouement qui glace le sang…
Lecteur PL –
Je viens de terminer le livre de Catherine, j’ai eu de la peine à m’arrêter… Elle écrit de mieux en mieux. Aimé l´intrigue et les personnages très attachants! Quelle imagination!
Lecteur PL –
L’archéologue romande, conservatrice du patrimoine archéologique à l’État de Vaud, dont on a aimé les précédents « London Docks » et « Les sacrifiés d’Eyrinques », met son humour noir et sa narration efficace au service d’un drame conjugal et familial qui agite une petite bourgade du fin fond du Canada. Lorsqu’il ressort de l’eau le cadavre de Cole Kinnaman, employé à la pêcherie Stanley, dont le jeune fils s’est tué l’année précédente en accompagnant son père à la pêche, le jeune policier Matt Campbell est loin de se douter des secrets de famille et de voisinage enfouis qu’il va déterrer. Passionnant !
Marie Claire –
Révélée en 2017 par l’étonnant London Docks, Catherine May s’exile plus loin encore, sur l’île de Vancouver, pour ce nouveau polar aux énigmes dérangeantes. La découverte d’un noyé défiguré, et la cascade d’événements passés ou à venir qu’elle entraîne, constituent la trame de l’enquête menée par un jeune flic qui s’ennuyait un peu et son énergique supérieure. Mais c’est surtout le paysage maritime, la nature du Grand Nord et les mentalités d’une petite communauté télescopée par le crime qui donnent son souffle et son suspense à cet excellent thriller insulaire et trépidant !
Francis Richard –
Le Drame à Wally Creek est certainement à l’origine de tout ce qui s’en est suivi dans ce thriller: jusqu’à la fin, Catherine May mène allègrement le lecteur en bateau dans les eaux troubles de l’île de Vancouver, où tout se joue, sans doute pour mieux lui faire perdre pied, avant de lui assener sans autre le coup de grâce…
http://www.francisrichard.net/2020/03/drame-a-wally-creek-de-catherine-may.html
Fattorius –
Si l’on aime les décors de « Drame à Wally Creek », on s’attache aussi à tous ces personnages que l’auteure met en scène, travaillés en profondeur, tour à tour victimes des mauvais coups de la vie et qui réagissent chacun à sa manière, quitte à ce que cela se solde par un beau gâchis. Qui plus est, les chapitres sont courts, ce qui augure d’une lecture rythmée au galop. Parfait pour une intrigue forte sur fond de détresse humaine et sociale!
http://fattorius.blogspot.com/2020/05/un-drame-au-sens-fort-louest-de.html
Lecteur PL –
Passé une bonne partie de nos nuits à Wally Creek… Nous avons eu tous les deux beaucoup de plaisir à te lire et comme nous devenons de fervents supporters, nous attendons le suivant !
Lecteur PL –
J’ai fini votre prose hier soir ! Une bonne petite journée à déguster à la fin d’un week end maussade !
Lecteur PL –
J’ai dévoré toutes les pages de cette enquête et j’ai beaucoup aimé. Sacrée Isabel….