Description
Kirsty Dunbar, jeune fille de 17 ans élevée dans la haute société écossaise du XVIe siècle, mène une existence digne de son rang dans les terres du Sutherland. Sa vie va pourtant basculer le jour où elle rencontre Hamish Ross, un fier Highlander en mission pour son clan.
L’attirance entre les deux jeunes gens, issus de milieux différents, aura de lourdes conséquences. À la cour, au service de Marie Stuart, Kirsty découvre que le monde de la noblesse, où se mêlent intrigues, complots et trahisons, n’est pas aussi parfait qu’on l’imagine. Au cœur d’une Écosse prise dans la tourmente politique, elle devra alors choisir entre son destin d’héritière et son désir de liberté.
Revue des médias pour La Pupille de Sutherland:
L’Agenda, décembre 2014:
Blog Fattorius:
Blog Au bonheur de lire:
Blog Stendhal Syndrome:
Blog Bull’Elodie:
Blog Lilalit:
Le Nouvelliste, 25 février 2014:
Le Courrier, 15 février 1014:
L’information immobilière, printemps 2014:
Journal de la Ville de Neuchâtel, 18 décembre 2013:
Journal de la Ville de Neuchâtel, 11 décembre 2013:
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Le vent faisait voler mes longs cheveux bruns tandis que je poussais ma jument au galop. J’aimais la vitesse. Il y avait quelque chose de grisant à sentir l’air fouetter mon visage, à laisser mon manteau flotter derrière moi. J’avais ainsi le sentiment d’être libre.
Je talonnai ma monture une fois de plus. La beauté de la plaine, avec sa verdure majestueuse, son bord de mer, ses falaises et ses collines ne m’émerveillaient plus guère. Grandir au milieu d’un tel paysage était une chance, mais me faisait aussi parfois oublier sa beauté.
Au loin, une voix m’interpella et je consentis à ralentir mon allure.
Je fus rejointe par mon amie Tara, fille d’une domestique de mon oncle.
- Où comptez-vous filer ainsi? me demanda-t-inquiète.
Je n’en ai aucune idée.
Vous devez être de retour au château à l’heure ce soir.
– Je le sais bien.
Mon oncle, John Gordon, le onzième comte de Sutherland, avait prévu une grande réception en ce 29 juillet 1565, à l’occasion du mariage de notre reine, Marie Stuart, et lord Henri Darnley. Pour ma part, je trouvais tout cela ridicule. Bien sûr, j’étais heureuse que notre reine se marie enfin, mais pas au point de le célébrer autrement qu’en présence des époux... Cependant, la moindre occasion était bonne pour organiser une réception digne de ce nom.
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